Le syndicalisme français enfermé dans ses certitudes d’organisations (prosélytisme, luttes de pouvoirs…) et ses pratiques cogestionnaires est aujourd’hui totalement dépendant de l’appareil d’État. Les syndicats sont qualifiés de « partenaires sociaux ». Le syndicalisme enseignant n’y échappe pas. Comment dès lors défendre des alternatives tant sur les revendications (pour les satisfaire) que sur le temps long, celui d’une organisation capable de dépasser les logiques d’appareils ; de se défaire de la délégation, de la bureaucratie et du patriotisme d’organisation ?
L’atelier pourrait tenter d’esquisser quelques pistes.
[
Se préinscrire en ligne->http://lite3.framapad.org/p/emEqgWvwow]