Classe du dehors, émancipation et écologie
Dans le n°17 de la revue N’Autre école ( en pré-vente ici ), Corinne Mazel, qui anime le site Enseigner dehors en ville. , nous explique le lien entre écologie et « classe dehors ».
Pour aller plus loin, nous vous conseillons vivement la lecture de l’article « Pour une pratique émancipatrice de la classe dehors », d’Isabelle Cambourakis (dans le n°14 de la revue Z). L’enseignante parisienne s’interroge sur la dimension subversive et émancipatrice à de la classe « du dehors » à l’heure de sa récupération libérale par temps de covid. Elle témoigne des changements fondamentaux qu’elle implique, à la fois dans sa pratique pédagogique mais aussi dans le rapport des enfants à leur quartier.
Comment donc rendre la pratique de l’école du dehors impropre au recyclage capitaliste ? Comment rendre nécessaire l’articulation de cette pratique avec les traditions de pédagogies sociales, nouvelles, émancipatrices ? Comment s’assurer qu’une telle pratique ne participe pas à un processus de distinction des enseignant·es entre elleux, des écoles entre elles, dans une période d’aggravation de la mise en concurrence et de la marchandisation de l’école ?
L’article est disponible sur Médiapart ici : https://blogs.mediapart.fr/revue-z/blog/160521/pour-une-pratique-emancipatrice-de-l-ecole-du-dehors-0
La revue Z peut être commandé là : https://www.ladernierelettre.fr/une-nouvelle-enquete-de-la-revue-z-n14-grenoble-et-lecole-elle-est-a-qui/
