Lettre ouverte au ministre de l’EN qui ne la lira pas, même si par un miracle quelconque elle arrivait sous ses yeux :
[http://education3.canalblog.com/archives/2018/10/31/36830865.html
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Je sais, ce n’est pas très politique, pas très défense des défavorisés, pas pédagogique, pas intello… On me dira que c’est vraiment simpliste, peut-être même populiste ou démagogique. OK.
Mais est-ce que l’on peut occulter dans toutes nos analyses savantes, nos contestations de mesures prises ou nos propositions de mesures à prendre, nos luttes syndicales, nos défenses de pédagogies émancipatrices, nos élaborations intellectuelles et sociales de N’autre école,… est-ce que l’on peut occulter ce qui relève du simple ressenti, ce qui peut être perçu dans un premier degré et parfois brutalement ?
Vous me direz que cela ne fait pas avancer grand-chose. J’en conviens. Mais n’est-ce pas une prise de conscience des pouvoirs qui n’apparaissent même plus comme des pouvoirs, y compris par ceux qui les détiennent, qui pourrait un jour les faire refuser par ceux qui les subissent sans même le savoir ?
Demander à être simplement un peu plus tranquille (enfants, profs, parents) ce n’est certes pas révolutionnaire ! Mais sait-on… ! Qu’est-ce qu’en ont à foutre tous les prisonniers de l’école d’une remontée dans les classements PISA ?
La lettre que Blanquer ne lira pas (mais il n’en est que le prétexte) ici :
[http://education3.canalblog.com/archives/2018/10/31/36830865.html
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