Quel bon titre de dossier ! Cette évidence met tout de suite en travail ce qui, dans la réalité des classes, est sinon le contraire, du moins une version très particulière : l’élève n’est généralement lu que par son professeur-correcteur ; étape certes indispensable, mais restreinte….faut-il qu’elle soit exclusive ?
Un grand nombre d’expériences, dans tous les domaines (sciences, langues étrangères, poésie et philo ne sont pas oubliés), l’interview d’un spécialiste sur la question écriture manuscrite/écriture sur clavier, la présence d’auteurs jeunesse (Murielle Szac, Evelyne Brisou-Pellen…), nourrissent ce numéro.
Et un article sur « L’orthographe, marqueur social » explicite bien l’enjeu : cet aspect est-il clair pour les enseignants ? Pour les élèves ?
Un numéro à lire « la plume à la main ». Tiens, qu’en est-il de ce type de lecture, fût-ce au lycée ?