Dire le travail maltraité
Cette lettre d’information est entièrement consacrée à notre livre Surtout, ne fermez pas la porte en sortant – récits de violences managériales dans une école en travail social, Parce que ce livre rencontre un écho fort dans le monde de la formation au travail social, par des contacts à Nîmes, Angers, Orléans, Perpignan, Bordeaux ; Parce que bien des lecteurs ont pris leur plume pour partager avec les auteur·es les réflexions et émotions à la lecture de l’ouvrage, en voici quelques extraits à lire sur notre site ; Parce que ce livre suscite l’intérêt de grands médias comme le journal Le Monde, qui en a publié une recension attentive et engagée le 18 juillet dernier, le site Média social, la revue VST des Ceméa (recension de Joseph Rouzel, à paraitre fin novembre 2024), la revue Connexions (article d’Emmanuel Gratton, à paraitre) ; Parce que des réunions organisées à Angers (par l’association Itinérience, cf. un compte-rendu sur notre site) ou Moulins (par l’Union départementale CGT), en présence d’auteur·es, ont été l’occasion de débats intenses et importants sur les thèmes du livre. Nous sommes également invités à une rencontre prévue à l’hôpital de Vichy en novembre, et pour une journée d’études envisagée à Angers sur le thème de la souffrance au travail et du récit comme ressource pour surmonter l’épreuve. Parce que nous sommes ouverts à toute proposition pour contribuer à d’autres initiatives pour promouvoir l’ouvrage : présentation lors d’une manifestation, rencontre dédiée, contact à solliciter pour un compte-rendu, etc. Parce que les « violences managériales » abiment des collectifs de travail dans bien d’autres secteurs, et que nous sommes prêts à contribuer à les dénoncer en accompagnant l’expression de celles et ceux qui les subissent. |