24 juin 2018 par
Il faut vraiment qu’il se sente fort, ce ministre, pour faire réécrire les programmes scolaires – du moins une partie d’entre eux – moins de deux ans après leur entrée en vigueur, confirmant ainsi la brutalité et le dogmatisme qui l’autorisent à tenir pour négligeable le travail et l’investissement qu’ont demandé leur mise en œuvre dans les établissements (...)