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Compte rendu de l’atelier 7 Atelier philo

AGSAS-Lévine Ateliers de philosophie

L’idée de départ du dispositif, c’est de faire en sorte que chaque individu puisse avoir accès à la pensée rationnelle. Lévine a beaucoup travaillé sur les dispositifs de Matthew Lipman

Mais très vite, Lévine a cherché à dépasser ce travail en permettant à chaque enfant de produire sa propre pensée sur les questions de l’humanité.

Les grands principes du dispositif

Première chose : l’adulte ne participe pas à ces ateliers, il n’intervient jamais. Il se tient à l’extérieur du cercle et n’est là que pour poser le cadre.

Il s’agit de définir un protocole de déroulement des séances (qui ne dureront pas plus de 10 minutes).

Ce n’est pas un enseignement. L’idée est d’introduire du non scolaire dans le scolaire.

Objectifs

1. donner à tous la possibilité de faire l’expérience de la réflexion, d’être la source de sa propre pensée, de l’exposer, de s’autoriser à penser.

2. proposer quelque chose qui soit autant de l’ordre de l’intime que du groupal et de l’universel. Cela repose sur l’individuation : construire son identité en partant du groupe.

3. Savoir qu’on a le droit de penser, et qu’en le faisant, on participe à quelque chose de collectif.

4. Constituer un groupe de pensée. La pensée commune à travers la pensée individuelle. Le cheminement est le suivant : de l’émotion au mot, à l’idée.

Déroulement

On dit aux enfants ce qu’on va faire puis on leur demande s’ils veulent participer. Dans un troisième temps, on leur explique comment cela se déroule. Ensuite, on explique les différents rôles : le président, le secrétaire le garant et un éventuel maître du temps.

Le président se charge de rappeler les trois règles des ateliers. C’est aussi lui qui donne la parole.

Le secrétaire est celui distribue le « témoin » de la parole (bâton, boîte etc…)

Le garant est celui qui garantit le travail du président. Il est également le seul à pouvoir prendre la parole sans avoir à la demander.

Durée : 10 minutes est la durée idéale.

Comme le dispositif est autogéré par les enfants, on peut introduire un 4ème rôle, celui de maître du temps.

Trois règles :

droit à la parole / droit au silence. Pour avoir droit à la parole, je dois la demander.

Je ne dois jamais être agressif, ni utiliser la parole pour autre chose qu’exprimer ce que je pense, ce qui induit qu’il n’y a pas une vérité absolue.

Règle de confidentialité. La parole de chacun, c’est le groupe qui en est le garant et le dépositaire. Quand je dis quelque chose au groupe, ça ne m’appartient plus, ça appartient au groupe qui seul peut décider ce qui en est fait (le partager ou non avec les parents, l’exposer, le montrer ou le laisser en classe)

Il faut au moins 3 ou 4 séances avant que les enfants s’approprient les règles et 6-7 séances pour qu’émergent des réflexions dépassant les premiers échanges avec redites. C’est souvent très long mais la pensée mature souvent sans pour autant être exprimée immédiatement.

Pour conserver des traces de ces échanges on peut soit utiliser un enregistrement audio ou vidéo. On peut également retranscrire en écrivant. C’est un peu plus contraignant en revanche.

On peut établir une liste de thèmes (la faire établir par les enfants)
Lévine dit qu’il n’y a pas de pensée, sans dialogue intérieur. Lorsqu’on écoute, on n’est pas seulement dans l’écoute mais dans un dialogue intérieur. On pense ce qu’on entend.

Il faut que les enfants sachent bien qu’il n’y a pas de jugement de ce qui est dit. Tous les enfants doivent s’autoriser à penser et à parler de tout ce qu’ils veulent. C’est un espace où ils peuvent tout dire tant qu’ils respectent les trois règles du dispositif.

En maternelle, on peut utiliser une boîte, la boîte à parole. On la fait passer. Si on a quelque chose à dire on l’ouvre et on parle sinon on la laisse fermée.

« Nous sommes là en tant qu’habitants du monde » C’est une phrase qu’on peut utiliser pour introduire les ateliers philosophiques car elle en reflète bien l’idée. Nous ne sommes plus les élèves d’une classe ou les habitants d’une ville, ni même les citoyens (ce qui induirait une autre dimension)

Michel Tozzi a fait des ateliers à visée philosophique. C’est une autre manière d’aborder les ateliers philosophiques un peu plus dirigiste pour tout ce qui concerne la position du maître, car c’est à lui que revient la charge de relancer le débat, de poser des questions et de gérer les échanges. Il y a des similitudes comme le passage d’un bâton de parole, la répartition des rôles des enfants. En revanche, le cadre est différent, un peu plus scolaire et certains enfants (notamment les plus fragiles) pourraient y être un peu plus rétif.
Dans le dispositif Lévine, il n’y a aucune évaluation. Comme on considère que l’on est là pour se poser des questions et qu’aucune réponse ne peut être apportée, a fortiori une bonne, on n’a aucune possibilité d’évaluer, de quantifier les résultats.

Les enfants tiennent vraiment à ce dispositif dès qu’il est mis en place et on n’a pas intérêt à oublier une séance car ils se chargeraient de le rappeler. C’est un cadre dans lequel ils s’investissent aisément et volontiers. Ceux qui l’ont éprouvé disent qu’il est très intéressant de voir combien les enfants sont captivés par ce qui a été écrit (de ce qu’ils ont dit)

Si on fait un second tour de parole (temps de retour) pour faire une sorte de bilan, l’enseignant peut être dans le cercle, car son rôle alors ne serait plus le même. Il faut restreindre le temps, car souvent les enfants cherchent à prolonger. On peut utiliser ce temps mais c’est à double tranchant, car les enfants peuvent être tentés de continuer le débat ou de débattre sur ce qui a été débattu.

Le moment de ce temps de retour peut être différé ou immédiatement après, le mieux étant de laisser les enfants choisir.

Quand on donne la parole, on donne du pouvoir. Il se trouve donc que dans ce cas là il faut pouvoir laisser la parole s’exercer. C’est ce qui fait la force de ce dispositif là car les mêmes règles s’appliquent aux enfants et à l’adulte.

Ce dispositif permet aux enfants d’élaborer leur propre réflexion. Beaucoup d’enfants ont été alphabétisés mais n’ont pas accès à la compréhension. Cette démarche, montre que par l’activité elle-même, cela fait du bien, c’est un plaisir de penser, pour soi. Cela permet l’émergence de soi par la démarche réflexive. Lévine permet dès les premiers pas aux enfants de marcher seuls.

Les enfants, sont en permanence en recherche parce qu’ils donnent du sens au savoir.

Symbolique et abstraction

Il est très difficile de faire accéder au symbolique et à l’abstraction, les enfants issus des classes populaires. Cette démarche permet de faciliter cet accès ce qui est bénéfique pour soi et pour les apprentissages.

La prise de parole doit être décidée avant, instaurée ensemble. Ca peut être en cercle, ou dans l’ordre des mains levées…

Echange :

Q : Que faire d’un enfant qui perturbe le cercle ?

=> Le garant et le groupe sont là pour rappeler les règles et au besoin sortir celui qui nuit au bon déroulement de la séance du cercle pour un temps donné.

Q : Comment introduire les séances ? Peut on utiliser les mythes, avoir un support ? Ca peut être difficile de ne pas sortir de soi.

=> Il ne s’agit pas de les faire sortir de soir ou les décentrer

Q : Si on ne relance pas les enfants, si on ne les questionne pas, ne risque t on pas de rester dans des clichés de représentation ? Est ce que les enfants parviennent ensuite à problématiser et à conceptualiser.

=> Même si ils ne se questionnent pas immédiatement, même si les problématiques ne surgissent pas immédiatement, cela peut émerger ensuite. En revanche, toujours faire de la philo en atelier philo.

=> C’est important aussi qu’à un moment, les enfants se retrouvent seuls et que l’enseignant ne soit que le garant du cadre.
Le risque quand un enseignant reste dans le cercle, c’est que les enfants attendent l’assentiment du maître et le regardent en cherchant à savoir s ‘ils ont donné la « bonne réponse ».

Merci à Nathalie pour ce Compte rendu

6 Comments

  1. C. Merlin

    Compte rendu de l’atelier 7 Atelier philo
    Bonsoir à tous.

    Dès la première semaine après le stage (trop tôt?) j’ai lancé des ateliers philo de 10 min dans chacune de mes classes de collège. Le lundi, j’annonce à mes élèves que j’ai rencontré plein de profs sympas jeudi et vendredi et que je reviens avec plein d’activités amusantes et qui pourraient leur permettre de progresser de manière différente. Je leur parle des changements que je vais mettre en place par rapport à notre atelier d’écriture pour écrire plus de texte libre*. Mais aussi je leur annonce que nous allons pratiquer la philo chaque semaine sous forme d’un cercle de paroles de 10 minutes.

    L’annonce est accueillie avec joie. Certains pratiquent déjà une forme d’atelier philo dans leurs foyers ou groupes de soutien. Ils me définissent ce qu’ils appellent “philosophie”. Nous fixons à partir de ce qu’ils disent ce qui pourrait ou pas être de la philo. Je ne dis rien (mais c’est dur! Surtout quand l’un me dit que dans son foyer ils appellent atelier philo ce qui ressemble à un cours de morale), je trie, j’oriente certes quelque peu par ce que je note au tableau.

    je leur demande ensuite ce qu’il est nécessaire de respecter comme règle pour que cela se passe bien. ils trouvent facilement le fait de ne pas parler tous en même temps et la règle de non-agression. Je les précise en fonction de ce qui a été dit à l’atelier et je leur propose les rôle de Président et de Garant. Leur étonnement a par contre été grand quand je leur ai dit que je ne participerai pas au cercle, que je serai à l’écart. Ils sont surpris mais intéressés. Je leur demande si je pourrai quand même tendre l’oreille et écrire ce qu’ils diront, pour qu’on puisse relire, quelques jours plus tard. Ils sont ok, surtout si c’est confidentiel. Je leur dis que s’ils le souhaitent, plus tard, on pourra publier, quand ils le voudront.

    Je choisis de prendre un quart d’heure sur mon heure de CDI, puisque souvent les élèves préfèrent lire à la maison et que l’heure est souvent moins “pleine” que les autres horaires de notre semaine (j’ai 4 heure par classe en 5ème et 4ème).

    MARDI : Les deux premières classes de 4ème. Salle en face du CDI. La documentaliste est à son poste, les deux portes ouvertes.

    La classe 1 est survoltée et moi anxieuse. J’ai un peu trop parlé. Deux élèves m’ont prise de court en refusant de participer, je les laisse aller au cdi en face pour commencer seuls (avec la documentaliste) l’activité de lecture. Je m’installe à l’écart et, après avoir choisi les deux volontaires pour être Président et Garant, je leur annonce un thème qui me parait facile et peu polémique, qu’un élève avait suggéré la veille : Qu’est-ce que le bonheur?

    Discussion composée de mots isolés. Je ne dis rien, je note. Je m’en veux d’être intervenue deux fois pour des prises de parole. Je ferai mieux la prochaine fois. Les élèves sont restés au ras des pâquerettes mais semblent heureux d’avoir parlé et si ça ne parait pas parfait, je me dis que la graine est semée et que la pratique régulière parait prometteuse.

    Classe 2 même topo, le niveau du discours est plus élevé, il y a plus d’arguments qui apparaissent. J’interviens une fois, mais plus calmement, (avant de m’en mordre les lèvres) pour demander à un élève de parler plus fort. Pendant une ou deux minutes, les élèves recommencent à parler à mon intention, ce qu’ils ne faisaient plus depuis un moment. Je commence à comprendre. Finalement, c’est moi qui vais devoir faire le plus d’effort pour ces ateliers.

    JEUDI le collège est en grève à cause de l’agression d’une collègue par une élève.

    VENDREDI – au CDI en l’absence de la doc.

    J’aurais probablement dû reporter les ateliers philo car je n’étais pas prête physiquement et psychologiquement à les mener dans l’effervescence.

    1 – Classe de 5ème

    Je commence l’heure par répondre à leurs questions sur la grève de la veille (nous sommes l’après midi mais personne jusqu’à présent n’a voulu les éclairer, certains ont même été punis pour avoir posé des questions, je ne comprendrai jamais).
    Les élèves ne sont que 9, les autres ont cru que la grève perdurerait.

    Je tente l’atelier quand même. Des élèves en très grande difficulté linguistique, cognitive, sociale, etc… peu d’imagination, peu de pensée personnelle. C’est justement POUR eux que j’avais flashé sur ces ateliers.

    Bilan mitigé. l’exercice les intéresse mais ils rient sans cesse. une élève se moque et coupe sans arrêt la parole aux autres. elle a un comportement assez similaire à celui qu’elle a en classe habituellement. Avant que j’intervienne, le garant le fait. Je ne peux m’empêcher de marquer ma désaprobation d’une grimace et j’envoie l’élève à l’autre bout du CDI pour lire.

    Les autres élèves continuent plus calmement mais se retournent sans arrêt vers moi pour chercher mon approbation. Je retourne à mon cahier en leur souriant si je croise leur regard. Je lutte pour ne rien laisser paraître qu’un visage neutre et bienveillant. Le temps s’écoule ils semblent satisfaits.

    Classe 2 4ème euro.
    Bon déroulement, quelques élèves seulement semblent animer l’atelier. Les arguments sont construits mais me semblent finalement moins originaux que ce que j’ai entendu dans des classes plus faibles. Au moins cette fois j’arrive à ne pas intervenir du tout. Je me suis un peu éloignée par rapport à la première heure et leur tourne presque le dos. Je perds l’observation du langage corporel mais tant pis.

    Classe 3 5ème “musique”

    Classe surexcitée (grève de la veille+présence de deux 3ème super mignonnes dans le CDI+dernière heure de la semaine).

    Le garant qui s’est proposé est un élève très créatif mais un peu moqué par les autres. Le président est un élève très populaire et un peu moqueur. Dans l’ensemble les élèves sont créatifs mais prompts à la moquerie. J’ai dû intervenir trois fois pour leur demander de respecter la parole du garant et appuyer ce dernier lorsqu’il a exclu à juste titre une élève très bavarde et moqueuse du cercle. J’ai pris sur moi la plupart du temps et j’ai trouvé ça extrêmement violent.

    De nombreuses bonnes idées, originales voire farfelues mais dès qu’une idée sortait du lot les rires fusaient, le groupe était bruyant et les prises de paroles non respectées. J’ai eu du mal à noter ce qu’ils disaient. Quelques élèves coupaient systématiquement la parole aux autres. A la fin, même le président était dépassé.

    J’ai tout noté. A chaque fois que les 10 minutes étaient écoulées, je les ai félicités, même le dernier groupe à leur grande surprise (mais ma tête devait dire autre chose, j’en ai peur) et je leur ai annoncé que nous reparlerions de cet atelier durant 10 minutes aussi mardi prochain, après relecture de leurs paroles. Qu’en attendant, ils réflechissent pour savoir si cet atelier leur avait plu. Puis nous avons repris les lectures personnelles, sachant que j’ai pris sur moi jusque 17h pour ne pas montrer ma déception.

    Si je raconte tout cela c’est pour demander conseil aux experts, à ceux qui ont déjà testé souvent et notamment avec des collégiens. Je suis motivée pour continuer mais je suis persuadée d’avoir commis de nombreuses erreurs. Certaines déjà repérées, d’autres non.

    Des conseils? Merci.

  2. Questions de classe(s)

    Compte rendu de l’atelier 7 Atelier philo
    Bonjour
    Merci pour ce partage, j’ai signalé le commentaire à Jean-Pierre et Patrick, je pense qu’il vont répondre et je trouve que ce serait bien si tout le monde pouvait suivre la suite des échanges…

    Greg

  3. Patrick Toro

    Compte rendu de l’atelier 7 Atelier philo
    Petite précision en préambule: je ne suis pas un expert ni un spécialiste, j’ai simplement une certaine mais modeste expérience de ce dispositif. Ce que tu décris est tout à fait “normal”. Comprendre les raisons de certains comportements: rire, moqueries, interruptions etc… permet en régulation de poser les problèmes et “d’autoriser” la verbalisation de ce qui génère ces attitudes. Ce qu’il ne faut pas c’est “stigmatiser”, ou avoir une réponse + ou – agressive, mais de pacifier la relation en montrant que l’on comprend les malaises, mal-être et autres, et que le groupe prendra en charge cela et aidera les individus à surmonter ces obstacles.
    Quant aux interventions de “l’adulte”, j’ai bien mis en garde lors de l’atelier, c’est le rôle le plus difficile à tenir. Outre le langage verbal, il y a aussi le langage non verbal (postures, mimiques, etc…) et le non dit qui peuvent influencer voire parasiter les débats. Ne pas hésiter à en parler en régulation, autrement dit, accepter un vrai débat contradictoire avec ces jeunes et leur montrer qu’il ne s’agit pas d’un leurre, mais véritablement d’un moment qui leur appartient intégralement. Je pense pouvoir dire que cela modifiera bien des choses tant sur le relationnel, que sur l’approche du sens qu’ils donneront “au travail”.
    Je vais lire plus précisément le CR et donnerait mes impressions en fonction de l’expérience que j’ai (le plus rapidement possible).
    Pour conclure, au risque de me répéter, je ne suis ni expert ni spécialiste,
    et quoiqu’il en soit, cette première approche est superbe, et je te garantie que la suite sera de la même eau.
    N’hésite surtout pas à faire part de la suite, je suis et reste disponible.

    Patrick

  4. Anonyme

    Compte rendu de l’atelier 7 Atelier philo
    Ton compte-rendu très précis m’a vraiment intéressé. Que ce soit difficile au début, surtout dans les conditions que tu décris, n’est pas surprenant. Je rejoins ce que te dit Patrick – et de plus tu sais qu’en collège c’est souvent plus difficile (comme plein d’autres choses d’ailleurs).
    Une seule critique (fraternelle) : le fait que tu culpabilises pour tes interventions; les procédures indiquées par Patrick sont un guide, pas un dogme, l’important est d’avancer et tu le fais en toute conscience.
    Jean-Pierre

  5. C. Merlin

    Compte rendu de l’atelier 7 Atelier philo
    Merci à tous les deux. oui la culpabilité c’est mon dada mais je vais tenter de le laisser à l’écurie. J’ai écrit ce texte peu de temps après le dernier atelier et avant de dactylographier leurs paroles. Je me trouve aussi un peu sévère avec moi même à la relecture ^^

    Ne vous vexez pas du mot d'”expert”, je l’utilise aussi dans mes classes pour désigner celui qui a déjà fait plusieurs fois en opposition à celui qui n’a encore jamais essayé. Rien de bien grave donc.

    Ok, je comptais bien, lors du temps de régulation avec les élèves (que je comptais faire lundi mais comme je ne suis pas là ce sera mardi) aborder les choses de cette façon. Je ne sais pas trop faire autrement de toute façon. Mes élèves me font globalement confiance je pense, c’est donc un avantage. Nous fonctionnons depuis longtemps sur un pied, non pas d’égalité mais d'”humain” à “humain” et je pense que ces pratiques que j’ajoute grâce à vous ne vont qu’accentuer ce phénomène. Merci. Je vous tiens au jus pour la suite des événements… 😀

  6. Geneviève Chambard

    Compte rendu de l’atelier 7 Atelier philo
    Bonjour et un grand merci à Patrick pour sa présentation des ateliers de philosophie AGSAS-Lévine lors des ateliers du Crap.
    Merci aussi à Nathalie pour son compte rendu ainsi qu’à Christine Merlin qui s’est lancée dans cette grande aventure des ateliers Agsas et qui nous décrit les différentes séances. Ces comptes rendus sont très intéressants.

    Veuillez m’excuser si j’envoie ce message , avant que Patrick n’ait “relu le CR” et ” donné ses impressions” , mais je tiens à vous informer qu’une initiation-formation aux Ateliers de Philosophie AGSAS- Lévine aura lieu le 8 mars à Paris . Pour toute information vous pouvez , soit aller sur le site de l’AGSAS “agsas.free.fr” ou me contacter par mail.

    Vous pouvez toutefois compter sur mon aide si vous le souhaitez.
    Geneviève

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