Disparition progressive de la liberté pédagogique
Méthodes de travail imposées
Tentative d’intimidations
Empêchements de travailler en équipe
Parachutage de directeurs et directrices
Calomnies
Répressions des personnes militant·e·s
Déplacements d’office
Toutes ces agressions poussent des collègues à demander leur mutation voire leur démission.
Le métier d’enseignant·e dévoyé et attaqué de toutes parts n’attire plus.
Avant même de connaitre le nom du/de la ministre de l’Éducation Nationale, l’ICEM-Pédagogie Freinet soutient les collègues actuellement en lutte, exige la levée de toutes les sanctions en cours et revendique une école publique où l’expertise des enseignant·e·s est reconnue.