Un ministre qui impose une méthode d’apprentissage soulève presqu’immédiatement une levée de boucliers. Mais au-delà de l’outrecuidance d’un pouvoir qui saurait ce qui est le mieux pour tous, du manque de considération pour l’expertise des enseignants, de la négation d’une très relative liberté pédagogique, qu’y a-t-il derrière cette soif de méthodes ?

Un essai d’analyse quelque peu politiquement incorrect :

[http://education3.canalblog.com/archives/2018/05/14/36402604.html
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