Pour certains, l’éducation est un marché. Plutôt que de considérer le savoir comme un bien personnel, un instrument de développement de chacun, ils le voient comme une marchandise négociable, utilisable sur le marché de l’emploi notamment.

Une première série d’articles illustre cette situation.

Des textes s’intéressent aux détournements de concepts qui contribuent à rendre normale, voire souhaitable cette marchandisation.

Une dernière rubrique donne à voir les enjeux et les effets de ces glissements de sens dans les pratiques éducatives.

juillet 2017, 55 pages, 8 €

[*Sommaire*]

Éditorial

Nommer les choses

Le savoir : bien humain ou marchandise ?

Les mots et les actes

Le cahier du LIEN

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