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Q2C à la recherche de veilleuses et de veilleurs !

Le site Questions de classe(s) se présente comme un espace de convergences des pratiques et des réflexions sur l’éducation, les luttes sociales et la pédagogie, un peu à la manière d’une agence de presse
Pour renforcer son équipe et proposer une meilleure couverture de ces thèmes, nous sommes à la recherche de “veilleuses” ou “veilleurs” se proposant d’alimenter le site en informations et réflexions, inédites ou publiées ailleurs, autour d’un thème précis (pratiques de classe, international, pédagogie, syndicalisme, les parents à l’école, le primaire, la maternelle, le lycée, les mathématiques, etc. ) suivant vos inclinations.
Vous pouvez nous contacter, même pour une participation modeste ou précise…

Le collectif d’animation

1 Comment

  1. Jean Agnès

    Q2C à la recherche de veilleuses et de veilleurs !
    Me souvenant de mon passé de spécialiste des médias, et de ma pratique de lecture des lieux traitant de pédagogie, de philosophie de l’éducation, etc., j’ai fait quelques essais de “revue de presse” quotidienne, dont quelques-uns en ligne, spécialisée dans la littérature scolaire.

    Comme il ne s’agit pas de tout prendre “pour de l’argent comptant” et qu’il faut s’appliquer à mettre en perspectives les données, sinon d’en analyser la nature, il s’agit bien entendu d’une “revue de presse critique“. Chez les Freinet, il y a aussi Roger Auffrand, qui est un “grand lecteur” brouillon, mais soulève périodiquement quelques lapins de taille.

    Mais je n’ai pas à ce jour réussi à persuader de l’intérêt que nous aurions à unir les efforts dans ce sens. Les médias spécialisés (Café et Cahiers “pédagogiques” présentant des listes d’actualité corporative sous-tendues par un type d’idéologie sans contrepartie sont des mines en “points problématiques”. http://www.aléasphilosophiques.fr/point-problematique-a112480900

    Un exemple rigolo – si ce n’était pas aussi risible : je reçois ce jour une pub de la Maif pour une conférence de M. Debarbieux sur… “la violence”. Cela mérite au minimum une mise en situation et une analyse du système discursif qui permet de maintenir ad aeternam un tel écart entre le langage des mandarins et la vérité de l’action.

    Il y a du grain à moudre, mais il faut choisir dans quel sens… Le mien reste celui d’une “philosophie critique de l’éducation”.

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