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Ecole des colibris et la frugalité

Me préparant à une séance du film « être plutôt qu’avoir » je surfe sur le net cherchant la petite bête et en trois coups de souris… je lève un lièvre (je file ma métaphore champêtre pour rester dans le thème). J’essaye de trouver le fonctionnement financier de « L’école des colibris » présente dans le documentaire (réseau Pierre Rabhi). Évidemment en ligne pas question de trouver le budget cependant, une page du site présente les partenaires financiers. D’une façon générale on pourrait s’interroger sur le côté écologique ou non, d’un fonctionnement par subvention de fondations qui accordent, selon leur bonté, leurs subsides mais, passons…
On trouve donc à la page de ses « partenaires »http://www.lesamanins.com/partenaires/partenaires-financiers, la fondation Martine et Didier Primat. La famille Primat est une des plus riches familles françaises exilées en Suisse (depuis 1981…).http://www.lemonde.fr/panama-papers/article/2016/04/06/panama-papers-ces-riches-francais-a-qui-l-exil-fiscal-ne-suffit-plus_4896667_4890278.html
Et qui, selon l’article du Monde.fr cité, ne se satisfait pas de l’imposition helvète puisque les panamas papers ont révélé un montage financier (via les Antilles néerlandaises et les ïles vierges britanniques… ça fait rêver) qui ferait perdre la tête à n’importe quel inspecteur des impôts.
On peut espérer que toutes ces tracasseries administratives n’empêche pas la famille Privat de bien faire fructifier son héritage. L’héritage Schlumberger, un des premiers groupes de services et d’équipements… pétroliers. Et donc via sa fondation de subventionner au moins le grain pour nourrir les colibris.

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