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Changer l’école, se changer, …. l’incontournable temps nécessaire

C’est sur le terrain que cela se passe. Beaucoup savent quelle autre école ils voudraient, pourquoi ils la voudraient, même le comment.

Mais il y a soi-même, il y a les enfants, il y a les collègues, il y a les parents, il y a… l’Education nationale !

Il n’empêche qu’ils s’y cognent !

Deux témoignages-analyses de celles et ceux qui ne sont pas dans la théorie et l’incantation.

Voir la suite ici http://education3.canalblog.com/archives/2015/02/18/31551096.html#c64914206

PS : au stage du 26 et 27 mars, quelques-uns partageront tout cela dans l’atelier “vers une école du 3ème type”

3 Comments

  1. chloé

    Changer l’école, se changer, …. l’incontournable temps nécessaire
    Cela change effectivement des grands textes écrits confortablement du haut des estrades intellectuelles et politiques. Cela change des textes de plaintes perpétuelles.

    J’aime questionsdeclasses quand des fenêtres comme celle-ci s’ouvrent.

    J’admire ces profs simples et pourtant bien plus hauts que tous les donneurs de leçons.

    Merci à eux.

  2. Jean Agnès

    Changer l’école, se changer, …. l’incontournable temps nécessaire
    Cette remarque semble faire écho à l’article d’Eveline Charmeux :

    “De telles activités sont excessivement rares en classe : trop difficile, trop long ; on n’a pas le temps. Alors, s’il n’est pas donné, ce temps, IL FAUT LE PRENDRE. “

    http://www.educavox.fr/formation/analyse/developper-l-esprit-critique

    http://www.aléasphilosophiques.fr/vive-l-esprit-critique-a114835568

    http://www.charmeux.fr/blog/index.php?2015/02/07/259-developper-l-esprit-critique

    Cela dit, attention à ne pas trop se délecter de la forme actuelle du “discours inversible”. On dit qu’on fait, mais que fait-on. Qui bouge, comment.

    “C’est sur le terrain” : encore faut-il que le “terrain” nous soit accessible!

    • Bernard Collot

      Changer l’école, se changer, …. l’incontournable temps nécessaire
      Il y a toujours un monde entre ce qu’on pense devoir faire et ce qu’on peut faire. On peut même imaginer (expérience de pensée !) que si un ministre extraordinaire (c’est bien une expérience de pensée… improbable !) décrétait et mettait en place le système éducatif que l’on est quelques-uns à rêver, que tout le monde l’accepterait (tout autant improbable !), sur le terrain, rien ne serait évident !

      Le changement de paradigme remet tout en cause, y compris les personnes qui doivent s’y reconstruire différemment.

      Dans tous les stages, lorsque la parole se libère et que les tabous tombent, c’est bien ce qui ressort presque tout le temps. On ne peut en faire l’impasse.

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