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Le collectif “De l’air à France Inter” vous invite à sa soirée … … “On nous cache tout” !

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[bleu ciel]Le collectif “De l’air à France Inter”
vous invite à sa soirée …
… “On nous cache tout” ![/bleu ciel]

[rouge]Ce sera, alors, la « Nuit des Longs Micros », le 12 janvier au théâtre Dejazet. A Paris et à 19 heures.[/rouge]

Pourquoi une « Nuit des Longs Micros » ?

Pour faire le tri, recenser et constater : combien d’émission sur le TAFTA ?

Combien de reportages à Pôle Emploi ? dans les usines ?, chez les petits agriculteurs ?

Combien de sujets sur les accidentés du travail ?, sur l’utilisation du CICE ?

Nous l’avions écrit à Laurence Bloch, en octobre :

« Que la principale radio de service public rende ainsi invisible, inaudible, quotidiennement, la « France d’en bas », que la majorité de la population soit passée sous silence, que ses préoccupations soient tues, voilà qui nuit manifestement au bon fonctionnement de la démocratie. »

Or, ces « préoccupations » sont délaissées par la radio publique, alors que, chaque matin, Dominique Seux, éditorialiste salarié des Echos, le quotidien du patronat, le journal de Bernard Arnault, première fortune de France, fait entendre sa voix – et ainsi, celle du patronat.

Comment est-ce qu’on va faire ça, l’état des lieux de la radio ?

Ce sont [rouge]Frédéric Lordon, Serge Halimi, Gérard Filoche, Gérard Mordillat, Danielle Simonnet (PG) et Aurélie Trouvé (Attac)[rose][/rouge][/rose] qui, tour à tour, s’exprimeront, révéleront [fuchia]« ce qu’on nous cache ».[/fuchia]

Des experts ? Oui, mais [vert]des travailleurs, aussi, comme Kamel[/vert], qui seront là eux-aussi, pour faire entendre leur voix !

Comme les centaines de lecteurs et d’auditeurs qui ont répondu à notre appel le 13 décembre, [bleu clair]vous êtes invités à nous rejoindre[/bleu clair].

Comme France Inter, cette campagne est aussi la vôtre. On peut faire le travail de fourmis, envoyer des mails, faire du lobbying, préparer les troupes mais le combat ne se fera pas sans vous !

[bleu]Ca serait le signe, que pour la radio publique, on peut se mobiliser et non pas déserter[/bleu]. Se battre plutôt que fuir, vers des niches – comme notre petit journal.

Parce que sans vous, on ne peut rien. Avec vous, on peut beaucoup !

Et c’est pour ça qu’à la fin, c’est nous qu’on va gagner !

(c) Journal Fakir. 303, route de Paris 80000 Amiens. [rouge]www.fakirpresse.info[/rouge]

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