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Dans la resserre il n’y avait rien. Alors nos parents sont sortis dans la rue. Ils criaient “du pain, de la liberté”. Nous les avons suivis

Dans ce que j’ai appelé l’école du 3ème type [[Cette appellation est générique ! Beaucoup peuvent s’y retrouver dans la perspective qu’ils veulent atteindre]] les enfants ne sont pas des bizounounours isolés ou protégés du monde. Non seulement ce monde les interpelle, les agresse, ils le subissent, mais aussi ils peuvent y intervenir, parfois mieux que les adultes militants si on cesse de les confiner dans le statut inférieur d’enfant, ou pire celui d’objet-élève..

Ce que relate ce billet (je mets le lien ne pouvant reproduire la mise en forme sur Q2C) se passait dans le réseau de plus de 300 classes, en grande partie du mouvement Freinet, qui avait débuté en 1983 en utilisant la télématique.

Ce réseau avait bouleversé pas mal de conceptions et d’organisations de classes et le concept d’école du 3ème type en est en partie né.

Cela se passait en 1989-1990. Si on peut y comprendre ce qu’était (et ce que devrait être) un réseau, cela révèle aussi la formidable capacité collective des enfants quand on leur permet de s’auto-gérer, quand la communication est interactive et non pas seulement le déversement d’informations à écouter passivement.

Dans la triste actualité de nos jours, cette histoire pourrait être… d’actualité.

A lire : http://education3.canalblog.com/archives/2015/09/23/32650171.html

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